vendredi 22 décembre 2017

* 1830 - 1930 * Centenaire de l'Algérie Française en 13 timbres *

La période dite de l’Algérie française 

(en arabe : الجزائر الفرنسية) au sens historique du terme, ou de l’Algérie coloniale, va, dans l'histoire de l'Algérie, de 1830 avec la prise d'Alger, à 1962 avec l'indépendance du pays. 

Cette période est parfois aussi désignée, dans son ensemble, comme celle de la colonisation, de la présence ou de l'occupation française de l'Algérie (en arabe : الاحتلال الفرنسي للجزائر). 

En 1839, les autorités françaises adoptent le nom d’Algérie comme appellation officielle du territoire correspondant. 

L'entreprise de conquête se termine par l'annexion d'une partie du Sahara en 1902, tandis que la colonisation proprement dite voit la création des départements français d'Algérie (1848-1957) — Oran, Alger et Constantine — et des territoires du Sud (1902-1957). 

La résistance à la colonisation fait place après la Première Guerre mondiale à la constitution du mouvement national algérien. 

Enfin, après la guerre d'Algérie (1954-1962), l'indépendance du pays est proclamée le 5 juillet 1962. 

 

En 1930 l'administration française en Algérie à émis une série de 12 timbres  

Toutes les images sont cliquables

  Gare PLM d'Oran
 


 Fondée en 902 par les Andalous, Oran connaît une succession de dynasties arabo-berbères. 
Occupée par les Espagnols en 1509, elle est définitivement reconquise en 1792 
par le bey Mohamed El Kebir et devient le siège du beylik de l'Ouest. 
Pendant la colonisation française, elle connaît un développement
 rapide,et devient la deuxième ville d'Algérie. 
Après l'indépendance, elle demeure la capitale économique de l'Ouest du pays 
et le principal centre financier, commercial et industriel.


Le Pont de Sidi Rached -  CONSTANTINE
Constantine, l'une des plus anciennes cités du monde, est une ville importante dans l'histoire méditerranéenne.
Anciennement Cirta, capitale de la Numidie de 300 av. J.-C. à 46 av. J.-C.
elle passe sous domination romaine par la suite. 
C'est à l'empereur Constantin Ier qu'elle doit son nom actuel depuis 313.
Durant le Moyen Âge elle est conquise par les Arabes au VIIe siècle et elle fera partie successivement du royaume aghlabide, de l'empire fatimide puis des royaumes ziride,  hammadide, almohade et hafside.
Elle deviendra au XVIe siècle la capitale du beylik de Constantine, siège du pouvoir beylical et vassale de la régence d'Alger. 
Lors de la conquête de l'Algérie par les Français elle sera prise en 1837, après un échec en 1836. Intégrée à la wilaya II, le Constantinois, par le FLN durant la guerre d'Algérie elle devient le siège de sa propre wilaya à l'indépendance du pays.
Le pont de Sidi Rached est un viaduc routier qui traverse les gorges du Rhummel et relie le quartier du Coudiat (centre-ville) à la gare de Constantine. 
Il a été construit à Constantine en Algérie française, entre 1908 et 1912, par l'ingénieur Aubin Eyraud, avec l'aide de Paul Séjourné qui en a conçu les cintres1 et a terminé la construction. 
Il était le plus haut pont en maçonnerie du monde lors de sa construction.

 L'Amirauté - ALGER
Fondée au IVe siècle av. J.-C., comme comptoir phénicien en pays berbère, sous le nom d'Ikosim, elle est occupée par les Romains, les Vandales, les Byzantins et les Arabes puis au début du Moyen Âge par la tribu berbère des Beni-Mezghana.
C'est le souverain berbère de la dynastie ziride Bologhine ibn Ziri, au milieu du Xe siècle qui fondera l'Alger actuelle, sous son nom El-Djazaïr ou Lezzayer, employé encore de nos jours pour la désigner en arabe et en berbère.
Elle ne prend son rôle de capitale de l'Algérie qu'à partir de la période de la régence d'Alger en 1515. Elle est alors une des cités les plus importantes de la mer Méditerranée entre le XVIe siècle et le début du XIXe siècle, pratiquant le corso, et à laquelle les puissances maritimes versent un impôt pour le passage de leur flotte.
Son rôle de capitale du pays sera confirmé lors de la colonisation française où elle devient 
le siège du gouverneur général de l'Algérie.
Alger fut la capitale de la France libre de 1942 à 1944.
 Depuis l'indépendance de l'Algérie, en 1962, devenue capitale de l’État algérien, elle abrite le siège des institutions politiques du pays en plus de tenir un rôle de premier plan économiquement.


Alger - le port 




La porte de Trajan - Timgad 

Timgad ou Thamugadi (colonie Marciana Traiana Thamugadi en latin), surnommée la « Pompéi de l'Afrique du Nord »1 est une cité antique située sur le territoire de la commune éponyme de Timgad, dans la wilaya de Batna dans la région des Aurès, au nord-est de l'Algérie. 
Elle fut fondée par l'empereur romain Trajan en 100 et dotée du statut de colonie. 
Il s'agit de la dernière « colonie de déduction » en Afrique romaine, c'est-à-dire d'une colonie essentiellement peuplée de citoyens romains (souvent d'ailleurs d'anciens soldats romains). 
Bâtie avec ses temples, ses thermes, son forum et son théâtre, la ville, initialement d'une superficie de 12 hectares, finit par en occuper plus d'une cinquantaine. 
Au vu de son excellent état de conservation et du fait qu'on la considérait comme typique d'une ville romaine, Timgad a été classée au patrimoine mondial de l'humanité par l'UNESCO en 1982. 


Djemila
Djemila, Ǧimla en amazigh (de l'arabe : جميلة, « la belle ») est une cité antique située sur le territoire de la commune éponyme de Djemila, dans la wilaya de Sétif, en bordure de la région du Constantinois en Algérie. 
Le site de Djémila abrite les vestiges de l'antique Cuicul, cité romaine, classée patrimoine mondial par l'Unesco.



 Djemila




 La Mosquée Mansourah - Tlemcen 
 Tlemcen; arabe: تْلمسان, Tlemsan), est une commune de la wilaya de Tlemcen, dont elle est le chef-lieu. Elle est située au nord-ouest de l'Algérie, à 520 km à l'ouest d'Alger, à 140 km au sud-ouest d'Oran et, proche de la frontière du Maroc, à 76 km à l'est de la ville marocaine d'Oujda. 
La ville est érigée dans l'arrière-pays, est distante de 40 km de la mer Méditerranée.
Ancienne capitale du Maghreb central, la ville mêle influences berbère, arabe, hispano-mauresque, ottomane et occidentales. 
De cette mosaïque d'influences, la ville tire le titre de capitale de l'art andalou en Algérie. 
Selon l'auteur Dominique Mataillet, divers titres sont attribués à la ville dont « Perle du Maghreb », « Grenade africaine » et « Médine de l'Occident ».



Ghardaïa
 Le Mzab ou M'zab, en endonyme tamazight (mozabite) : ⴰⵖⵍⴰⵏ, Aghlan ou encore ⵉⵖⵣⴰⵔ ⴰⵡⴰⵖⵍⴰⵏ, Ighzer awaghlan (la vallée du Mzab), en arabe : مزاب (Mzab), est une région du nord du Sahara algérien berbérophone, située dans la wilaya de Ghardaïa, 
à 550 km au sud d'Alger (441 km à vol d'oiseau). 
Elle s'étend sur environ 8 000 kilomètres carrés, entre 32° et 33°20′ de latitude Nord et 0°4′ et 2°30′ de longitude Est. 
Elle abrite approximativement 360 000 habitants (estimation 2005).

Le Mzab est un plateau que parcourt un oued du même nom. 
Sa vallée servit de refuge aux Ibadites qui y édifièrent cinq villes de 1016 à 1053.


Tolga
Douar issu du territoire de la tribu des Ziban (commune indigène de Biskra) délimité par arrêté du 7 mars 1904 et constitué en sept douars : Chetma, Lichana, Mekhadma, Ourellal, Saâda, Sidi Okba et Tolga.
Il est érigé en deux communes par arrêtés du 26 avril 1957 : Tolga et Bordj El Azzouz.
Tolga est également une oasis.
Une section administrative spécialisée porte ce nom.


Touareg  
 
Les Touaregs, qui se nomment eux-mêmes les Kel Tamasheq sont des habitants du Sahara central et de ses bordures (Algérie, Libye, Niger, Mali, Mauritanie et Burkina Faso). 
Ils parlent une langue berbère, le tamasheq, et utilisent un alphabet appelé tifinagh .

Souvent nomades, leur sédentarisation s'accélère depuis la seconde moitié du XXe siècle.Ils sont confrontés à des formes d’assimilation culturelle et linguistique (acculturation) et à une marginalisation économique et politique qui les ont conduits à la lutte armée dans les années 1990.
Beaucoup ont abandonné le nomadisme pour se fixer dans les grandes villes en bordure du Sahara, comme Tamanrasset en Algérie ou Agadez au Niger, ou les capitales des États sahéliens (Bamako, Niamey).


 Le vieil Alger 
La casbah d'Alger, communément appelée la Casbah (en arabe : القصبة, Al-qaṣabah, « la citadelle »), correspond à la vieille ville ou médina d'Alger, capitale de l'Algérie, dont elle forme un quartier historique inscrit au patrimoine mondial de l'humanité de l'Unesco depuis 1992. 
Administrativement, elle est située dans la commune de Casbah, au sein de la wilaya d'Alger.

Son histoire remonte à l'Antiquité, où elle est d'abord un port punique, puis berbère et enfin romain. Fondée au Xe siècle par les Berbères sous la dynastie des Zirides, elle est ensuite enrichie par les apports des autres dynasties berbères qui dominent successivement le Maghreb central. 
Elle atteint son apogée durant la période de la régence d'Alger, de laquelle elle est le siège du pouvoir politique. 
Colonisée par les Français en 1830, elle est progressivement marginalisée car les centres de pouvoir sont déplacés vers la nouvelle ville. 
Elle occupe un rôle central pendant la guerre d'Algérie, servant de bastion aux indépendantistes du FLN. 
À l'indépendance du pays, en 1962,elle ne retrouve pas son rôle central et redevient un espace marginalisé de la ville.
Exemple d'architecture islamique et d'urbanisme des médinas arabo-berbères, elle est aussi un symbole de la culture algérienne, un objet d'inspiration artistique  et le siège d'un savoir-faire artisanal ancestral.
 Elle est menacée par le manque d'entretien et d’intérêt de ses habitants et 
de l'administration,malgré son classement par l'Unesco. 
Des acteurs locaux se battent pour faire vivre son patrimoine matériel et immatériel.


Mosquée Sidi Abderrahmane
Djamaâ Sidi Abderrahmane, est une mosquée de la Casbah d'Alger datant du XVIIe siècle. 
Bâtie vers 1621, c'est une petite mosquée et mausolée (koubba) dédiée au penseur et théologien kabyle Sidi Abderrahman et-Thaâlibi (1384-1471). 
La mosquée à proprement parler date de 1696 ; elle est construite autour du tombeau du théologien.

D’après Omar Racim



Omar Racim 

Omar Racim (1884 - 1959) est né dans une populaire famille d'artistes d'origine turque.
Comme beaucoup d'enfants algériens de son époque Omar Racim a appris 
le Coran dans sa prime jeunesse. 
Il va également s'initier à l'art de l'enluminure dans l'atelier familial à la Casbah d'Alger.
Autodidacte bilingue, il commence à travailler dans une imprimerie coloniale à l’âge de 14 ans. 
Ses premiers articles journalistiques datent de 1909. Ils sont publiés dans les journaux "El Moudjahid" et "Mourchid El Ouma" qui paraissent en Tunisie. 
Il dénonce la pauvreté et les maux sociaux. Il publie des écrits sur la musique, l'art andalou et l'architecture dans des revues 
marocaines, tunisiennes et égyptiennes.
En 1931, il participe à l'exposition coloniale internationale de Paris où
 il obtient un diplôme d'honneur.
Omar Racim fonde en 1939 une école de miniature, enluminure et calligraphie à Alger où il forme une pléiade de jeunes artistes dont Temmam, Ben Debbagh, Boutaleb. À la même époque, il appartient à l'Union Artistique de l'Afrique du Nord et expose dans ses salons.
À partir de 1940 il se consacre uniquement à l'enluminure du Coran.

Omar Racim est le frère aîné de Mohammed Racim.



 Caractéristiques philatéliques
Impression Taille-douce
dentelé 12 1/2
Émis en feuille de 50 TP
Quantité 44 900 

Démonétisé le 01/02/1931 
 

© Texte : catawiki  . timbres : Lionel Nivelle 2017 .  photo : diverses sources Web .
Signaler une erreur , un problème , une correction   : Lionel3829@gmail.com

samedi 4 novembre 2017

Dirigeants de l'Algérie depuis l'an 215 av J.C

Liste des dirigeants de l'Algérie depuis l'an 215 av J.C

Cet article est un énoncé de noms, des rois et dirigeants qui ont été à la tête de l’Algérie et ce depuis l’an 215 av J/C , et non pas seulement de l'histoire des dirigeants de la République algérienne moderne. Il ne faut pas oublier que la civilisation humaine au Maghreb et en particulier en Algérie remonte à des millénaires mais ce n'est qu'à partir de l'Antiquité que cet espace commence à prendre sa forme actuelle en se scindant en régions et peuples. Cette liste, de dirigeants qui se sont succédés à la tête de l’Algérie ont été les premiers artisans de cet état-nation algérien moderne d’aujourd’hui. Telle une Chronique, ces grandes figures ont été un vaste panorama des évènements passés et sont une source indispensable de par la valeur documentaire, que soulève le rôle qu’ils auront joué à travers les millénaires. Ils demeurent, une source de connaissance historique de l’Algérie parfois d’une étonnante crudité, d’où la liste nominative qui suit !

D'aprés le Dr Abderrahmane Mebtoul

Rois numides


•    Rois de la Numidie occidentale des Massaessyles :
•    Roi Syphax (215 av J.C à 220 av J.C)
•    Rois de la Numidie orientale des Massyles :
•    Roi Zelalsen (vers 225 av J.C jusqu'à vers 215 av J.C)
•    Roi Gaïa (vers 215 av J.C à 207 av J.C)
•    Roi Ozalces (207 à 206 av JC)
•    Roi Capusa (206 à 206 av JC)
•    Roi Lacumazes (206 à 206 av JC)
•    Roi Massinissa (206 à 202 av JC), qui unifia la Numidie

Rois de la Numidie unifiée :

•    Roi Massinissa (202 à 148 av JC)
•    Roi Micipsa (148 à 118 av JC)
•    Roi Gulussa (148 à 145 av JC) - vice-roi, ministre de la guerre
•    Roi Mastanabal (145 à 118 av JC) - vice-roi, ministre de la justice
•    Roi Adherbal (118 à 112 av JC)
•    Roi Hiempsal I (118 à 118 av JC)
•    Roi Jugurtha (118 à 106 av JC)
•    Roi Gauda (106 à 88 av JC)
•    Roi Hiempsal II (88 à 60 av JC)
•    Roi Juba I (60 à 46 av JC)
•    Souveraineté saisie par la République romaine ( 46 a 30 a JC)
•    Roi Juba II (30 à 23 av JC)
•    Roi Ptolémée de Maurétanie (23 av JC à 40 ap JC) - Fin de la dynastie numide.


Occupation romaine

•    Empereur Auguste (25 av JC à 14)
•    Empereur Tibère (14 à 37) - Tacfarinas dirige une résistance
•    Empereur Caligula (37 à 41)
•    Empereur Claude Ier (41 à 54)
•    Empereur Néron (54 à 69)
•    Empereur Vespasien (69 à 79)
•    Empereur Titus (79 à 81)
•    Empereur Domitien (81 à 96)
•    Empereur Nerva (96 à 98)
•    Empereur Trajan (98 à 117)
•    Empereur Hadrien (117 à 138)
•    Empereur Antonin le Pieux (138 à 161)
•    Empereur Marc Aurèle (161 à 180)
•    Empereur Commode (180 à 192)
•    Empereur Septime Sévère (193 à 211)
•    Empereur Caracalla (211 à 217)
•    Empereur Macrin (217 à 218) - Cet empereur est issu de Cherchell
•    Empereur Élagabal (218 à 222)
•    Empereur Sévère Alexandre (222 à 235)
•    Empereur Dioclétien (284 à 285)
•    Empereur Maximien Hercule (285 à 305)
•    Empereur Constance Chlore (305 à 306)
•    Empereurs d'Occident, jusqu'à Honorius (395-423), puis Valentinien III (425-455) qui perd en 439 le contrôle du pays au profit de la domination partielle vandale.

Occupation vandale

•    Roi des Vandales Genséric (430 à 477)
•    Roi Hunéric (477 à 484) - révolte des Berbères Circoncellions
•    Roi Gunthamund (484 à 496)
•    Roi Thrasamund (496 à 523)
•    Roi Hildéric (523 à 530) - son général Hoamer subit une défaite face aux Berbères.


Occupation Byzantine

•    Empereur Justinien (530 à 565)
•    Empereur Justin II (565 à 578)
•    Empereur Tibère II (578 à 582)
•    Empereur Maurice Ier (582 à 602)
•    Empereur Phocas (602 à 610)
•    Empereur Héraclius (610 à 641)
•    Empereur Constantin III (641 à 641)
•    Empereur Heraclonas (641 à 641)
•    Empereur Constant II (641 à 647)


Califat Omeyade qui succède aux 4 califes dit "el Rashidun"

•    Khalife Muawiya Ier (647 à 656)
•    Khalife Yazid Ier (680 à 683)
•    Khalife Muawiya II (683 à 684)
•    Khalife Marwan Ier (684 à 685)
•    Khalife Abd el Malik (685 à 705) - Alger est prise aux Byzantins.
•    Khalife Al Walid Ier (705 à 715)
•    Khalife Suleymane Ibn Abd el Malik (715 à 717)
•    Khalife Omar II (717 à 720)
•    Khalife Yazid II (720 à 724)
•    Khalife Hisham Ibn Abd el Malik (724 à 743)

Révolte berbère

(743 à 776) - L'Afrique du Nord s'enflamme sous la direction d'une révolte berbère contre l'impôt et le rite sunnite des Omeyyades qui seraient responsables de la mort de Ali ibn Abi Talib. Une armée berbère impose la défaite à deux armées arabes omeyades (à Chlef et dans le Constantinois) venues d'Espagne et de Damas. L'armée berbère se met en marche , et part de Béjaïa pour réformer le monde islamique.

Dynastie Roustemide

•    Imam Abderahmane Ibn Roustoum (776 à 784)
•    Imam Abdelwahab Ibn Abderahman (784 à 832)
•    Imam Aflah ibn abdelwahab (832 à 871)
•    Imam Abou Bakr Ibn Aflah (871 à 871)
•    Imam Mohamed Abou Yaqzan (871 à 894)
•    Imam Youssef Abou Hatem (894 à 897)
•    Imam Yaakoub Ibn Aflah (897 à 901)
•    Imam Youssef Abou Hatem - encore - (901 à 906)
•    Imam Yakzan Ibn Mohamed (906 à 909)


Dynastie Fatimide

•    Imam Obeyd Allah El Mahdi Bi Allah - (909 à 934). Les armées berbères Kutama de basse Kabylie fondent, sous Ubayd Allah al-Mahdi, la dynastie Fatimide. Les Kutamas mettent fin à la dynastie Rostemides et conquièrent l'Ifriqiya. Lorsqu'ils transfèrent leur cour en Égypte, ils nomment la dynastie Ziride pour les remplacer et imposer l'union.


Dynastie Ziride

•    Ziri ibn Menad (935 à 973)
•    Bologhine ibn Ziri (973-983) - construit la ville musulmane d'Alger
•    al-Mansur ibn Bologhine (983-995)
•    Badis ibn Mansur (995-1015)
•    al-Muizz ibn Badis (1015-1062) - les Hilaliens, envoyés par les Fatimides, détruisent Kairouan, la capitale des Zirides est transféré à Mahdia
•    Tamim ibn al-Muizz (1062-1108)
•    Yahya ibn Tamim (1108-1131)
•    Ali ibn Yahya (1115-1121)
•    al-Hasan ibn Ali (1121-1148)


Dynastie Hammadide

•    Hammad ibn Bologhine (1014 à 1028) - fils de Bologhine ibn Ziri et prince Ziride il fonde la dynastie des Hammadides
•    al-Qaid ibn Hammad (1028 à 1045)
•    Muhsin ibn Qaid (1045 à 1046)
•    Bologhine ibn Muhammad ibn Hammad (1046 à 1062)
•    an-Nasir ibn Alnas ibn Hammad, (1062 à 1088)
•    al-Mansur ibn Nasir (1088 à 1105)
•    Badis ibn Mansur (1105)
•    Abd al-Aziz ibn Mansur (1105 à 1121)
•    Yahya ibn Abd al-Aziz (1121 à 1152)


Dynastie Almoravide

•    Youssef Ibn Tachfin (1061 à 1106) - fondateur de la dynastie Almoravide
•    Ali Ben Youssef (1106 à 1142)
•    Tachfin Ben Ali (1142 à 1146)
•    Ibrahim Ben Tachfin (1146-1147)
•    Ishaq Ben Ali (1147)


Dynastie Almohade

•    Abd al-Mumin (1145 à 1163) - fondateur de la dynastie des Almohades
•    Abu Yaqub Yusuf (1163 à 1184)
•    Abu Yusuf Yaqub al-Mansur (1184 à 1199)
•    Muhammad an-Nasir (1199 à 1213)
•    Yusuf al-Mustansir (1213 à 1223)
•    Abd al-Wahid al-Makhlu (1223)
•    Abu Muhammad al-Adil (1224 à 1227)
•    Yahya al-Mutasim (1227 à 1235)
•    Abu al-Hasan as-Said al-Mutadid (1242 à 1248) - il réussit à récupérer une partie de l'ouest de l'Algérie alors annéxé par les Hafsides


Dynastie Hafside

•    Yahya I (1229-1249)
•    Muhammad I al-Mustansir (1249-1277)
•    Yahya II al-Watiq (1277-1279)
•    Ibrahim I (1279-1283)
•    Abd al Aziz I (1283)
•    Ahmad Ibn Abi Umara (1283-1284)
•    Omar I (1284-1295)
•    Muhammad II al-Muntasir (1295-1309)
•    Abu Bakr I ach-Chahid (1309)
•    Khalid I an-Nasir (1309-1311)
•    Zakarija I al-Lihyani (1311-1317)
•    Muhammad III al-Mustansir al-Lihyani (1317-1318)
•    Abu Bakr II al-Mutawakkil (1318-1346)
•    Omar II (1346-1347)
•    (court règne du mérinide Abu al-Hasan ben Uthman (1347))
•    Ahmad I al-Fadî al-Mutawakkil (1348 - 1350)
•    Ibrahim II al-Mustansir (1350-1369)
•    Khalid II (1369-1370)
•    Ahmad II al-Mustansir (1370-1394)
•    Abd al-Aziz II al-Mutawakkil (1394-1434) - sous son règne l'empire s'étend d'Alger à Tripoli
•    Muhammad IV al-Mutansir (1434-1435)
•    Othman (1435-1488)
•    Yahya III (1488-1489)
•    Abd al-Mumin (1489-1490)
•    Zakariya II (1490-1494)
•    Muhammad V al-Mutawakkil (1494-1526)


Dynastie Zyanide

•    Yghomracen Ibn Zyan (1236 à 1283) - Fonde la dynastie dont la capitale est Tlemcen. Cette dynastie est également appelée Abdalwadide.
•    Othmane Ibn Yghomracen (1283 à 1304)
•    Abou Zeyane Mohamed Ier Ibn Othmane (1304 à 1308)
•    Abou Hammou Moussa II (1353 à 1389) - Prend Alger.
•    Abou Zeyane (1389 à 1389)
•    Abou El Hadjadj Youssef (1389 à 1393)
•    Abou Zeyane (1393 à 1399)
•    Abou Mohamed (1399 à 1401)
•    Abou Abdallah El Tensi (1401 à 1410)
•    Moulay Said Ibn Abou Hammou (1410 à 1411)
•    Abou Malek (1411 à 1425)
•    Abou Fares (1425 à 1425)
•    Abou El Abas Ahmed (1425 à 1425)
•    Moulay Mohamed (1425 à 1435)
•    Moulay Abdallah (1435 à 1437)
•    Abou Zeyane (1437 à 1438)
•    El Moutawakel (1438 à 1475)
•    Mohamed (1438 à 1460)
•    Abou Zakaria (1460 à 1488)
•    Abou Abdallah Mohamed (1488 à 1505)
•    Abou Abdallah Mohamed II (1505 à 1512) - il traite avec les espagnols qui contrôle déjà Alger, Oran , Béjaïa, Mers el Kébir et Ténès. Les Algériens font appel aux Ottomans pour venir les aider.


Régence d'Alger

•    Arudj Barberousse (1515 à 1518)
•    Khayr ad-Din Barberousse (1518 à 1520)
•    Ahmed Ben El Cadi (1520 à 1527)
•    Kheirdine Barbarossa (1527 à 1533)
•    Hassan Agha (1533 à 1545)
•    Hassan Pacha Ibn Kheirdine (1545 à 1551)
•    Salah Rais (1551 à 1556)
•    Mohamed Kourdougli (1556 à 1556)
•    Caid Youssef (1556 à 1556)
•    Yahia Pacha (1556 à 1556)
•    Hassan Pacha Ibn Kheirdine (1556 à 1561)
•    Ahmed Pacha (1561 à 1561)
•    Hassan Pacha Ibn Kheirdine (1561 à 1567)
•    Mohamed Ibn Salah Rais (1567 à 1568)
•    El Euldj Ali (1568 à 1571)
•    Arab Ahmed (1571 à 1573)
•    Caid Ramdan (1573 à 1577)
•    Hassan Veneziano (1577 à 1580)
•    Djaffar Pacha (1580 à 1582)
•    Caid Ramdan (1582 à 1582)
•    Hassan Veneziano (1582 à 1587)
•    Dely Ahmed ( 1587 a 1589)
•    Khider (1589 à 1591)
•    Chaabane (1591 à 1595)
•    Khider (1595 à 1596)
•    Mustapha (1596 à 1599)
•    Deli Hassan Boukricha (1599 à 1600)
•    Suleymane (1600 à 1604)
•    Khider (1604 à 1605)
•    Mustapha El Koussa (1605 à 1607)
•    Redouane (1607 à 1610)
•    Mustapha El Koussa (1610 à 1611)
•    Mustapha (1611 à 1614)
•    Hocine (1614 à 1616)
•    Mustapha (1616 à 1617)
•    Suleymane Pacha (1617 à 1618)
•    Hocine Pacha (1618 à 1619)
•    Sidi Saref Hadji (1619 à 1621)
•    Hocine Pacha, gouverneur de Sousse (1621 à 1623) - Épidémie de peste à Alger, bombardement anglais, bombardement hollandais
•    Mourad Pacha El Aama (1623 à 1624)
•    Ibrahim Pacha (1624 à 1624)
•    Sidi Saref Hadji (1624 à 1626)
•    Hocine Pacha (1626 à 1630)
•    Younes Pacha (1630 à 1632)
•    Hocine Pacha (1632 à 1634)
•    Youssef Pacha (1634 à 1637)
•    Ali Pacha ( 1637 a 1639)
•    Cheikh Hocine (1639 à 1640)
•    Abou Jamal Youssef (1640 à 1642)
•    Mohamed Boursali (1642 à 1645)
•    Ali Betchine (1645 à 1645)
•    Mohamed Boursali (1645 à 1647)
•    Abou Jamal Youssef (1647 à 1647)
•    Othmane (1647 à 1651)
•    Mohamed (1651 à 1653)
•    Tobal (1653 à 1655)
•    El Hadj Ahmed (1655 à 1656)
•    Ibrahim (1656 à 1656)
•    El Hadj Ahmed (1656 à 1657)
•    Ismail Ibn Ibrahim (1657 à 1659)
•    Khelil (1659 à 1660)
•    Ramdan (1660 à 1661)
•    Chaabane (1661 à 1665)
•    Ali (1665 à 1671)
•    Hadj Mohamed (1671 à 1681)
•    Baba Hassen (1681 à 1683)
•    El Hadj Hussein Pach el Dey anciennement Mezzo Morto (1683 à 1688)
•    Ibrahim Khodja ( 1688 a 1688)
•    Hadj Chaabane Bey (1688 à 1695)
•    El Hadj Ahmed (1695 à 1698)
•    Baba Hassen (1698 à 1700)
•    Hadj Mustapha (1700 à 1705)
•    Hocine Khodja (1705 à 1707)
•    Mohamed Baktache ( 1707 a 1710)
•    Dely Brahim (1710 à 1710)
•    Ali Chaouch (1710 à 1718)
•    Mohamed Ben Hassan (1718 à 1724)
•    Kourd Abdi (1724 à 1732)
•    Baba Ibrahim (1732 à 1745)
•    Ibrahim Koutchouk (1745 à 1748)
•    Mohamed Ben Bekir anciennement Il Retorto (1748 à 1754)
•    Baba Ali Bou Sbaa (1754 à 1766)
•    Mohamed Ben Osmane Khodja (1766 à 1791)
•    Dey Hassan (1791 à 1798) - Père de la célèbre Khedaouedj el aamia, et beau-père du futur Dey Hussein.
•    Dey Mustapha (1798 à 1805)
•    Ahmed Khodja Bey (1805 à 1808)
•    Hadj Ali (1808 à 1809)
•    Hadj Ali (1809 à 1815)
•    Mohamed Kharnadji (1815 à 1815)
•    Omar Agha ( 1815 a 1817)
•    Ali Ben Ahmed (1817 à 1818)
•    Dey Hussein (1818 à 1830)

Colonisation française

•    Charles X (1830 à 1830)
•    Louis Philippe (1830 à 1848)
•    Louis Napoléon Bonaparte (1848 à 1852)
•    Napoléon III (1852 à 1870)
•    Louis Jules Trochu (1870 à 1871)
•    Adolphe Thiers (1871 à 1873)
•    Patrice de Mac-Mahon (1873 à 1879)
•    Jules Grévy (1879 à 1887)
•    Marie François Sadi Carnot (1887 à 1894)
•    Jean Casimir-Perier (1894 à 1895)
•    Félix Faure (1895 à 1899)
•    Émile Loubet (1899 à 1906)
•    Armand Fallières (1906 à 1913)
•    Raymond Poincaré (1913 à 1920)
•    Paul Deschanel (1920 à 1920)
•    Alexandre Millerand (1920 à 1924)
•    Gaston Doumergue (1924 à 1931)
•    Paul Doumer (1931 à 1932)
•    Albert Lebrun (1932 à 1940)
•    Charles de Gaulle (1940 à 1946) (...)
•    Félix Gouin ( 1946 a 1946)
•    Georges Bidault ( 1946 a 1946)
•    Léon Blum (1946 à 1947)
•    Vincent Auriol (1947 à 1954)
•    René Coty (1954 à 1959)
•    Charles de Gaulle (1959 à 1962)

République algérienne


•    Ahmed Ben Bella (1962 à 1965)
•    Houari Boumedienne (1965 à 1978)
•    Rabah Bitat (1978 à 1979)
•    Chadli Bendjedid (1979 à 1992)
•    Mohamed Boudiaf (1992 )
•    Ali Kafi (1992 à 1994)
•    Liamine Zeroual (1994 à 1999)
•    Abdelaziz Bouteflika (1999 à aujourd'hui)


Source : The Algerian American Association of Northern California


Dr Abderrahmane Mebtoul
Mercredi 18 Avril 2012

jeudi 24 août 2017

Faux de lenine - 1924 -

Faux de l'emission "Sorrow" 1924 URSS

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Vladimir Ilitch Oulianov, Lénine

Né à Simbirsk le 22 avril 1870 et
mort à Gorki Leninskie le 21 janvier 1924
est un révolutionnaire et homme politique russe.

Il milite au sein du Parti ouvrier social-démocrate de Russie,
la section russe de la Deuxième Internationale.


Plus tard, il fonde et dirige le parti bolchevik et compte parmi les dirigeants de la Révolution d'Octobre.

Lénine est le fondateur de l'Union soviétique,premier régime communiste de l'histoire,
de fait, sa participation dans l'élaboration du mouvement politique et idéologique communiste fait de lui un des personnages les plus importants de l'histoire contemporaine.
Il est l'auteur d'une importante œuvre écrite d'inspiration marxiste.
Source wikipedia
Voyons en images les différences notoires avec des timbres.
Les images sont cliquables pour les voir en grand.
Sauf precisions , ou libres de droits ,les images suivantes proviennent de ma collection .
A ce moment nous oublierons les différences de taille du cadre pour examiner essentiellement les traits qui permettent
de différencier les vrais timbres des faux de cette emission de lenine de 1924 - URRS - USSR.
Le dessin de ce timbre est indissociable de la photo de Lenine .


Le meilleur moyen : la comparaison visuelle avec un vrai et un faux .
Un simple examen visuel , déja , permet de se faire une idée.
Un vrai
Un faux
l'oreille droite de lenine n'a pas de creux.
l'oreille gauche est faite de plusieurs traits fins.
l'oeil droit de lenine est fait de deux trous blancs.
le bord des cheveux á gauche de lenine commence par une pointe.
le bord du costume á gauche de lenine est en pointe.
La barbe de lenine comporte des pointes , des vagues.
Le col blanc á la droite de lenine est pointu.
l'oreille droite de lenine a une creux et sa forme est en bosse.
l'oreille gauche est faite d'une tache , de deux des fois.
l'oeil droit de lenine est fait d'un trou blanc .
le bord des cheveux á gauche de lenine commence par un arrondi.
le bord du costume á gauche de lenine est arrondi.
La barbe de lenine ne comporte pas de pointe ou moins des vagues.
Le col blanc á la droite de lenine est arrondi.

Un autre type de faux posté sur wikipedia : l'aspect général ne permet pas l'erreur d' identification.
un vrai
un faux
l'oreille droite de lenine n'a pas de creux.
l'oreille gauche est faite de plusieurs traits fins.
l' oeil droit de lenine est fait de deux trous blancs.
le bord des cheveux á gauche de lenine commence par une pointe.
le bord du costume á gauche de lenine est en pointe.
La barbe de lenine comporte des pointes , des vagues.
les caractères et chiffres imprimes ont des bords fins, des traits fins .
la forme du visage est ovale.
l'oreille droite de lenine n'a pas de creux.
l'oreille gauche est faite de plusieurs traits épais.
l'oeil droit de lenine est fait de deux trous blanc celui du haut trop grand .
le bord des cheveux á gauche de lenine commence par une pointe.
le bord du costume á gauche de lenine est rond .
La barbe de lenine est faite d'une seule grosse pointe au centre.
les caractères imprimes n'ont pas de finesse, pas de traits fins .
la forme du visage est plutôt ronde .

un vrai
l' élégance du timbre est certaine
les caractères sont fins .
un faux
les traits sont épais
les caractères sont moins fins
un autre faux
les traits sont épais
les caractères sont moins fins
un faux qui vient de wikipedia
la forme n'est pas ovale
les caractères n'ont aucune finesse.

Tableau comparatif direct pour les faux de l' émission de 1924 - mort de lenine - URSS - USSR. liste non exhaustive.
vrai
Faux 1
Faux 2
faux X
?
?
?
?
?
?
?
?
?


 A lire !!! 
extrait du site ( que je conseille ) philatelie populaire
Philatélie Populaire - Edité par l'Union Philatélique Internationale -
BP207 - 93103 MONTREUIL Cedex - tél: 08 71 44 79 12 - Contact: upi@philatelie-populaire.com

Ce site a été réalisé à partir de logiciels libres. Contact webmaster: alain@philatelie-populaire.com
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URSS : La série de deuil de Lénine de 1924, par France Peschl (N° 495, mars 2002)
Dès que son décès fut connu, il est décidé d’émettre une série de deuil en son honneur.
La poste voulait que le jour de ses obsèques, les timbres soient à disposition du public.
C’est Doubassov qui fit le dessin. Le tirage eut lieu en lithographie.
La rapidité de cette émission fit qu’elle fut riche en modifications d’encres, de papier.
Toutefois, il a été possible de repérer les variétés du tirage au cours de cette impression continue.
Le 27 janvier 1924, cette émission était en vente.
Le timbre est noir, avec un cadre rouge. On distingue quatre tirage différents.
Les trois premiers se reconnaissent à la dimension du cadre extérieur, la quatrième tirage est dentelé. 
Il semble qu’il paru après les non dentelés.
La série comporte quatre valeurs : 3 kop, 6 kop, 12 kop et 20 kopecks.
Le premier tirage a des dimensions extérieures du cadre de 20 x 25 mm. C’est de loin le plus rare, surtout le 20 kop.
Le second tirage se distinque par un cadre de 21,2 x 26,5 mm. C’est le plus fréquent.
Le troisième tirage a pour dimension 20,5 x 26 mm, donc assez proche du précédent.
Il faut noter que le catalogue soviétique inverse les 2ème et 3ème tirages. Il note aussi le 6 kop avec le format 20,5 x 26,5.
Le 4ème tirage est dentelé à 13,5. Les dimensions du cadre sont celles du second tirage soit 20,5 x 26 mm.
Yvert signale le 12 kop avec cadre de 21 x 26,5 mm.
Il existe des faux. Ils se distinguent par deux éléments :
D’abord l’œil droit de Lénine (à gauche pour nous) n’a qu’un seul point blanc alors que les deux points 
sont bien visibles sur les vrais.
Ensuite, l’oreille gauche de Lénine est représentée par un trait épais comme l’autre oreille.
Il paraît que ces faux sont fréquents, cependant, je n’en ai jamais rencontré.
Il n’est pas fréquent de réussir à émettre une série en un temps si court. Compte tenu de l’époque,
ce fut un exploit. Bien que l’on rencontre cette série assez souvent dans les collections, il est rare 
d’ y trouver le premier tirage.
Fin de l'extrait de : philatelie populaire
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